Qui es-tu? Que fais-tu ici ? PARLE !!! [PV Irunae] EN COURS

Comme d'habitude, j’étaie d'humeur massacrante. En me levant, je bouscula un jeune qui jouait. Lorsqu'il se tourna pour voir qui l'avait pousser, il partit en couinant, pendant que je souriais d'un air sadique, me demandant à voix haute de quelle façon je le mangerai...

Je partit en direction de mes terres, histoire d'en faire le tour et vérifier que tout allai bien : les zoiseaux chantent, le soleil brille, c'est quoi ce temps à la Barbie ??! Je partit en plaquant les oreilles au crâne et les membre de MON clan prirent soin de m'éviter. Comme si j'avais en plus besoin d'un crétin dans mes pattes ! Je pris le trot et rua, une fois, deux fois, puis je me mis au galop en direction de la plaine enneigée. Le froid me fit dresser le poil, souffler de la buée et j'eu un frisson de plaisir dans le dos. J'était un roi, un maître conquérant, un fou. Mon pelage avit doubler de volume et j'en était fièr. Un bruit me fit dresser l'oreille : une jument.

Je commençait à m"échauffer sévère, les oreilles tellement plaquées qu'on en les voyait plus. Je montra un peu les dents et me ravisa : si c'était une jument, je n'avais pas grand chose à craindre, je l'aurai vite maîtrisée. Cependant, je lança un tout petit hennissement, strident, désagréable à entendre, mais qui faisait savoir que si elle s'approchait d'un peut trop près, elle serait vite battue.

La neige était toujours aussi froide, elle persistai malgré le soleil, qui avait fini par être voilé, laissant place à des nuages et à une fine couche de neige qui en tombait. Je continuai de fixer la jument en la dévisagent d'un air critique. Venant de moi, il ne fallait pas s'attendre à un accueil chaleureux du genre : "Hello ! Comment sa va ?" mais plus à un "Fous le camp d'ici.". Anti social, moi ? Comment avez vous devinez ? Bref, toujours est-il que j'attendais la réponse de l'autre...